Business Développement: la société est née de l’envie d’accompagner les entreprises à prendre du recul, à réfléchir et à pouvoir définir leur projet pour en faire un projet ambitieux, challenger et « distinguable ». Il est important de raisonner en leader si vous voulez éviter de vous battre sans cesse contre des concurrents trop proches de vous.
Alain Sékula est coach professionnel certifié, ancien dirigeant, consultant en stratégie et en communication, formateur en management, marketing et relation client, enseignant. Il préfère les challenges aux situations acquises, l’écoute et l’échange aux certitudes, l’action après la réflexion aux réflexions sans action.
Il a passé 25 ans au coeur de starts up, d’entreprises de communication, de santé, de restauration ou de commerces. Il a mené de front direction d’entreprise et conseil auprès d’autres organismes et formation. Parce qu’accompagner ou former facilite selon lui la capacité à écouter, à dialoguer, à transmettre et à créer du lien entre pratique et théorie.
De son expérience et des centaines de dirigeants ou responsables qu’il a rencontrés, il tire une observation. La principale différence entre les grandes entreprises et les moyennes, petites ou très petites entreprises ne réside pas seulement dans la taille et les moyens opérationnels disponibles. Elle se traduit par une disponibilité plus réduite du dirigeant, par moins d’occasions d’échanger, par moins d’études et d’analyses pour éclairer leurs décisions.
Alors prenez le temps. Celui de travailler sur votre ADN pour augmenter votre puissance opérationnelle.
N’oubliez jamais qu’une question bien posée ou qu’une vision plus claire engendre toujours des réponses plus adaptées et plus percutantes.
Le slogan de Business Développement est:
Nous avons organisé vendredi 10 novembre une journée de rencontre et de travail pour les formateurs sur le thème de l’arrivée de l’IA générative dans le monde des formateurs, et des droits applicables à la FC. Ce fut une journée passionnante et très enrichissante qui nous oblige à nous interroger, plutôt immédiatement, sur l’évolution de notre rôle et des interactions avec nos participants.
Nouvel outil et nouvel environnement ne signifient pas qu’il y a un danger qui plane au-dessus du monde de la formation, mais qu’il faut dès maintenant en analyser les avantages et les risques si l’on ne fait rien.
Nous avons travaillé dans le superbe environnement de l’Hôtel des Humanistes à Sélestat, au pied du Haut-Koenisbourg, et nous sommes tous repartis gonflés à bloc pour entreprendre les changements nécessaires, et profiter des nouvelles opportunités offertes.
Sélestat le 10 novembre 2023
Mardi 2 novembre 2021
Vendredi 29 octobre 2021
Du vendredi 15 au dimanche 17 octobre 2021
à la Maison du Technopôle de Mulhouse
Vendredi 17 septembre 2021
En visio conférence du 9H30 à 12H15
C’est ce que nous vous proposons avec l’Agefiph. Après le rappel des obligations contenues dans le dispositif…
14 Juillet 2021
Dimanche 11 juillet Richard Branson s’est couché heureux et fier d’avoir réussi à devancer Jeff Bezos dans la course qu’il lui mène pour le lancement de vols dans l’espace. Pourtant, il est légitime de s’interroger pour savoir si cette réussite doit être célébrée.
Ce cas singulier où deux entrepreneurs très riches et encore accrochés à leurs rêves d’enfants réalisent un leurs fantasmes pose la question de la toute puissance de l’économie et de la place de l’opinion publique.
Même la pandémie de la Covid-19 n’aura pas réussi à éclipser les observations et les inquiétudes sur le réchauffement climatique. Que l’on soit un peu ou très préoccupé par l’évolution du climat, nous savons que nombre de décisions qui seront prises dans les mois à venir concerneront ce sujet.
Dès lors comment interpréter cette course à l’espace dont la finalité est de proposer des vols de ce type aux plus fortunés, on parle de vols à 250000$ tout de même au départ, sans préoccupation majeure pour ses effets sur l’environnement.
Notre planète, et en particulier notre jeunesse, est-elle prête à voir les plus fortunés s’envoler ainsi vers l’espace, certes, mais aussi vers un droit à augmenter la pollution, à l’heure où l’on s’interroge sur la rationalisation des transports et sur l’évolution du tourisme de masse?
Que devient l’image de ces grandes entreprises qui vont employer ces mêmes jeunes si leurs dirigeants affichent une telle déconnexion avec l’engagement de leurs salariés?
Le problème que je vois dans cette aventure est que Richard Branson comme Jeff Bezos auraient dû s’interroger sur la pertinence de ce projet dans le contexte actuel. La valeur morale, l’éthique des entreprises est aujourd’hui un critère important pour postuler et rechercher un emploi pour les jeunes diplômés.
Il sera intéressant d’observer si ceux qui luttent pour le climat s’abstiennent de commander auprès d’Amazon pour leurs prochaines commandes. La protection de l’environnement est une ligne de fracture entre les 15-25 ans et leurs ainés. Prenons garde à ne pas agrandir ce fossé, qui sera toujours comblé par des mesures réglementaires ou législatives pour l’ensemble de la population. Mesures qui, soit dit en passant, ne préoccupent pas ceux auxquels ces vols dans l’espace seront destinés.
Pour Branson et Bezos, il était difficile de faire machine arrière, car quand on est un patron visionnaire on a peur de passer à côté d’un challenge. A moins que ce ne soit justement la capacité à savoir faire machine arrière qui ne soit la marque d’un grand patron.
23 Juin 2021
Reprendre après une si longue période de changement représente un challenge à ne pas rater. Reprendre comme avant serait sans doute une erreur. Nous avons tous pris d’autres habitudes pendant cette période. Et nous nous sommes tous posés des questions.
Selon votre secteur d’activité les changements seront plus ou moins profonds. Pour notre activité par exemple, la digitalisation des contacts bouleverse nos habitudes et notre manière de travailler. Que ce soit en coaching, pour l’organisation de réunions ou en formation, c’est un monde nouveau qu émerge de mois de Covid-19.
Sachons en tirer profit, ou trouver des solutions pour corriger les inconvénients de la situation.
Coacher en période incertaine est plus nécessaire que jamais. L’année qui commence s’ouvre par une période d’incertitude. Où allons-nous? Comment allons-nous sortir de cette crise? Pourtant beaucoup de choses ont changé entre 2020 et aujourd’hui, et toute ressemblance avec une période déjà vécue pourrait être erronée. Le décors est bien planté pour rendre plus utile que jamais l’accompagnement par un coach.
Les gestes barrières semblent ne plus suffire à contenir une épidémie dont les conséquences économiques sont aujourd’hui dépassées par le malaise social. Les Français sont déprimés, et certaines catégories le sont encore plus que d’autres.
On parle beaucoup du moral des jeunes, des étudiants en particulier. Mais on s’interroge peu sur celui des artistes, des restaurateurs, des loueurs de chambres à la montagne, des professionnels du mariage, et j’en passe.
Les chefs d’entreprise ont beau jeu de réclamer plus de visibilité dans les mois à venir. Le gouvernement est englué dans les avis multiples des experts et le défilement permanent de statistiques sanitaires défavorables.
Prendre des décisions est difficile, et les Français comprennent mal les changements de discours, et encore davantage les changements de méthode. Pourtant, sans liberté de décider à vue avec les informations que l’on possède, l’exercice devient impossible.
Comment décider des objectifs à fixer et des moyens à mettre en oeuvre? C’est là toute la difficulté, et tout l’art de la direction d’une entreprise.
Chacun comprend que les sciences de gestion n’ont plus de sciences que le nom, et que la gouvernance en avenir incertain exige:
C’est une période effrayante pour les uns, mais excitante pour d’autres. Il vous appartient de choisir le camp auquel vous souhaiteriez appartenir.
Et n’oubliez pas: quand tout semble bloqué, ceux qui ont réussi à avancer leur pion ont pris un avantage.
Devant tant d’engouement je propose que nous revenions aux solsticiales, car nous aurons ainsi l’occasion de faire des voeux 2 fois par an, ce qui, dans un monde où il y a désormais tant de changements, ne serait finalement pas de trop!